LouiseBeyrand
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Louise Beyrand, bénéficiaire d'une allocation de terrain de l'EFEO, a séjourné au Cambodge de décembre 2013 à fin février 2014 pour approfondir ses recherches sur le théâtre d'ombre cambodgien. C’est tout naturellement qu’elle a souhaité déposer, en 2013, ses archives photographiques à l’EFEO (882 clichés), les mettant ainsi généreusement à la disposition de la communauté scientifique. En cette même fin d’année, elle s’apprêtait à partir vivre plusieurs mois au Cambodge afin de recueillir témoignages et matériel pour la rédaction de sa thèse de doctorat en anthropologie sociale intitulée « La fabrique de la tradition au Cambodge. Étude comparative des arts et artisanats populaires en Asie du Sud-Est contemporaine » (université de Strasbourg, en cotutelle avec Leiden Universiteit, Pays-Bas). Son décès, brutal et tragique, l’en a empêchée.
Née en 1988, Louise Beyrand était diplômée d'un master 2 de l'Université Paris René Descartes-Sorbonne en anthropologie et d'un master 2 de l'École du Louvre en histoire de l'art, tous deux consacrés à l'étude du théâtre d'ombres cambodgien et notamment des « grands cuirs » lakhon Sbek Thom. Louise préparait une thèse de doctorat sur les arts du spectacle du Cambodge et des pays voisins, sous la direction conjointe du professeur Michael Herzfeld (Harvard University) et du professeur Pierre Leroux (à l'Institut d'ethnologie de l'Université de Strasbourg), en co-tutelle avec le LIAS (Leiden University Institute for Areas Studies) à Leyde. Elle était également membre du Laboratoire Sociétés, Acteurs, Gouvernement en Europe (SAGE, UMR 7363 CNRS & Unistra).
Passionnée de patrimoine immatériel, elle avait fondé pour le défendre, en 2012, l'association Mémoire du Patrimoine dont elle était la présidente très active.
Louise Beyrand, bénéficiaire d'une allocation de terrain de l'EFEO, a séjourné au Cambodge de décembre 2013 à fin février 2014 pour approfondir ses recherches sur le théâtre d'ombre cambodgien. C’est tout naturellement qu’elle a souhaité déposer, en 2013, ses archives photographiques à l’EFEO (882 clichés), les mettant ainsi généreusement à la disposition de la communauté scientifique. En cette même fin d’année, elle s’apprêtait à partir vivre plusieurs mois au Cambodge afin de recueillir témoignages et matériel pour la rédaction de sa thèse de doctorat en anthropologie sociale intitulée « La fabrique de la tradition au Cambodge. Étude comparative des arts et artisanats populaires en Asie du Sud-Est contemporaine » (université de Strasbourg, en cotutelle avec Leiden Universiteit, Pays-Bas). Son décès, brutal et tragique, l’en a empêchée.
Née en 1988, Louise Beyrand était diplômée d'un master 2 de l'Université Paris René Descartes-Sorbonne en anthropologie et d'un master 2 de l'École du Louvre en histoire de l'art, tous deux consacrés à l'étude du théâtre d'ombres cambodgien et notamment des « grands cuirs » lakhon Sbek Thom. Louise préparait une thèse de doctorat sur les arts du spectacle du Cambodge et des pays voisins, sous la direction conjointe du professeur Michael Herzfeld (Harvard University) et du professeur Pierre Leroux (à l'Institut d'ethnologie de l'Université de Strasbourg), en co-tutelle avec le LIAS (Leiden University Institute for Areas Studies) à Leyde. Elle était également membre du Laboratoire Sociétés, Acteurs, Gouvernement en Europe (SAGE, UMR 7363 CNRS & Unistra).
Passionnée de patrimoine immatériel, elle avait fondé pour le défendre, en 2012, l'association Mémoire du Patrimoine dont elle était la présidente très active.