À Bangkok, l’EFEO est invitée à rejoindre le centre d’anthropologie de la Princesse Sirindhorn.
Elle s’installe aussi à Chiang Mai, au nord du pays, offrant une nouvelle base pour l'étude des traditions et des textes bouddhiques aux chercheurs, dont ceux rentrés du Cambodge alors en guerre. D’abord consacré à l’anthropologie religieuse et aux littératures des sociétés locales, avec l’édition de textes bouddhiques du Cambodge et du Laos, la recherche couvre depuis les années 2000 un champ d’étude plus large.