Oeuvre : Précisions - Peinture représentant l'anéantissement du dieu Kama par Shiva EFEO_INDO00052

Publication des collections de l'EFEO

Connexion Login Đăng nhập

table.wide.navigationBar.js { display: none; }

Recherche multi-critères

#openSharingTools { display: none; } Adresse permanente de la notice

Peinture représentant l'anéantissement du dieu Kama par Shiva EFEO_INDO00052

Adresse permanente de la notice

Vous pouvez copier l'adresse suivante pour l'utiliser ensuite dans vos courriers électroniques :

[Masquer]

Fonds :

Fonds Indonésie

N° d'inventaire :

EFEO_INDO00052

Titre :

Peinture représentant l'anéantissement du dieu Kama par Shiva

Prise de vue :

01/07/1951

Description de la représentation :

Peinture sur toile représentant un épisode du poème javanais Smaradahana : Śiva, furieux d'avoir été distrait dans sa méditation, consume Le dieu de l'amour, Kāma (Smara).
Art balinais, Collection Louis-Charles Damais.

Observations / Commentaires :

Le dieu de l'amour, Kāma (Smara), a été dépêché par les dieux auprès de Śiva, afin de faire naître en lui l'amour pour Pārvatī car de leur union est attendu un fils qui restaurera l'équilibre des mondes.
Śiva en méditation, est entouré de ses gardiens Nandiśvara et de Mahākāla. Smara décoche sur lui ses cinq traits, figurés par des fleurs. Puis, Śiva, sorti de son ascèse, est représenté sous une forme terrible aux bras et têtes multiples. De son troisième œil, il consume le dieu de l'amour, représenté englouti par les flammes. Dans le coin inférieur gauche, on reconnaît Twalen et Merdah à leur faciès comique.

Le dieu de l'amour, Kāma (Smara), a été dépêché par les dieux auprès de Śiva, afin de faire naître en lui l'amour pour Pārvatī car de leur union est attendu un fils qui restaurera l'équilibre des mondes. Śiva en méditation, est entouré de ses gardiens Nandiśvara et de Mahākāla. Smara décoche sur lui ses cinq traits, figurés par des fleurs. Puis, Śiva, sorti de son ascèse, est représenté sous une forme terrible aux bras et têtes multiples. De son troisième œil, il consume le dieu de l'amour, représenté englouti par les flammes. Dans le coin inférieur gauche, on reconnaît Twalen et Merdah à leur faciès comique.